Publications par admin

Journal de Québec, Québec
Pierre O. Nadeau, 23 mars 2001

Monique Jutras :  une véritable « Bolducologue ».  Depuis quelques années, on assiste à un véritable regain de popularité de l’œuvre de La Bolduc, reprise par de plus en plus d’interprètes, comme Angèle Arseneault, le groupe Suroît, et la formation Les Maringouins.  « La Bolduc est enfin reconnue », se réjouit Monique Jutras, en rappelant que la populaire chanteuse-turluteuse des années 1930 était boudée par les médias de l’époque.

Le Soleil, Québec
Mylène Moisan, 12 octobre 2002

Le Québec a mal à son folklore.  Des ethnologues s’inquiètent du désintérêt des Québécois envers leur passé.   Le Québec a honte de son folklore.  Le vrai folklore, pas Robert Charlebois ou Gilles Vigneault. Celui des veillées d’antan, des quadrilles et de la turlute. 

Journal de Mont-Royal, Montréal
Marie Trudel, 5 décembre 2003

Fille spirituelle de Raoul Roy.  « Je me considère comme la fille spirituelle de Raoul Roy, je me situe dans sa lignée, du côté des chansonniers et non des «swingeux  même si j’ai des chansons qui swingent aussi » », rappelle Monique Jutras.  Car la chanteuse est également, faut-il le dire, l’interprète reconnue de Mary Travers, pour tout dire notre seule et complète Bolduc. 

Le courrier de Saint-Hyacinthe, Saint-Hyacinthe
Denyse Bégin, 30 novembre 2005

La turlute de Monique Jutras.  Du Moyen Âge jusqu’à la Bolduc, Monique Jutras peut élaborer facilement sur les complaintes à caractère médiéval, les chansons à répondre et le folklore traditionnel du Québec ou même sur celui du Nicaragua où elle a vécu pendant quelque temps.  Le tout dans une bonne humeur contagieuse et dans esprit de partage sans prétention, tout à fait charmant.

Charlesbourg Express, Québec
Véronique Demers, 26 mars 2008

Chansons, turlutes et musiques du monde… d’ici :  le folklore de Monique Jutras.  Monique Jutras montrera la joie de vivre et le dynamisme du folklore québécois dans son spectacle intitule « Chansons, turlutes et musiques du monde… d’ici ! ».  « Le titre choisi est un peu une boutade, parce que les diffuseurs et les programmateurs de musique aiment beaucoup la musique du monde d’ailleurs.  Si je joue, par exemple, à Toronto ou à Vancouver,  je suis classée dans la catégorie musique du monde » explique-t-elle.